Charles LeBourg (1829 – 1906)
L’Ancien et le Nouveau Monde
Deux plaques sculptées de figures à l’antique en relief, se faisant face et représentant : l’une, L’Ancien Monde sous les traits d’un vieillard enveloppé dans une draperie ; l’autre, le Nouveau Monde symbolisé par un jeune homme vêtu d’une cape.
Maquettes réalisées en bronze, intitulées respectivement l’Ancien Monde – Exposition Permanente d’Auteuil et le Nouveau Monde – Palais de l’Exposition d’Auteuil et signées Ch.LeBourg (inscriptions en bas, à droite pour l’Ancien Monde ; en bas, à gauche pour le Nouveau Monde)
Hauteur : entre 29 cm et 30 cm
Largeur : 25.8 cm
Epaisseur : 1 cm
Musée Bartholdi, Colmar – Christian Kempf, photographe.
Ces deux plaques ont été acquises par le musée Bartholdi à Colmar.
Originaire de Nantes, Charles LeBourg se forme tout d’abord auprès d’Amédée Ménard, sculpteur réputé à Nantes et professeur aux Beaux Arts de Paris, puis à partir de 1851, chez François Rude, premier prix de Rome.
Présent au Salon dès 1852, il se distingue les années suivantes en remportant une médaille de troisième classe en 1853 pour « l’Enfant nègre jouant avec un lézard » et une mention honorable à l’Exposition Universelle de 1855. Notamment connu pour ses nombreux portraits, il réalise également statuettes et groupes en pierre dont « les Génies de la Chasse et de la Forge (1857) », commande de l’Etat pour le Palais du Louvre et Danaé (1861), placée à Marly le Roi. Ainsi, en une dizaine d’années, son talent lui a permis d’obtenir la reconnaissance de ses pairs ainsi qu’une série de commandes publiques.
C’est sans doute en raison de cette notoriété grandissante qu’on lui confie au début des années 1860, la réalisation des maquettes de l’Ancien et du Nouveau Monde, probablement destinées à orner le Palais de l’Exposition universelle d’Auteuil, dont il va être question maintenant.
Le Palais de l’Exposition universelle d’Auteuil
L’histoire du Palais d’Auteuil commence le 10 mai 1860 quand Pierre-Ernest Buon, propriétaire à Paris et Charles Viboux, banquier à Colmar, décident de s’associer autour d’un projet « d’Exposition universelle, internationale et permanente pour tous les produits des sciences, des arts, de l’agriculture, de l’industrie et du commerce », attesté par les Actes de la Société du Palais de l’Exposition Universelle (1).
« Circonscrite d’abord dans les limites de l’Etat, on était arrivé, faisant un pas de plus, à l’idée d’établir une sorte de concours international entre les peuples rivaux, appelant dans un centre commun, les produits de toutes les industries ; c’était là la grande exposition de Londres et de Paris ; puis on avait songé à l’installation définitive d’un grand magasin, d’un entrepôt général dans lequel à l’état permanent, se trouveraient réunis les produits de tous les peuples ; c’est cette dernière conception sur laquelle reposait la tentative de Buon et Viboux » (2).
Parallèlement à cette association, Emile Erlanger, banquier à Paris, achète à Madame de Julliac, le 22 juin 1861, le parc de l’ancien Château du Coq (3) dit villa d’Auteuil constituée de 183 767 mètres carrés pour 1 700 000 Francs, dans l’intention de spéculer.
Ayant eu vent de cette opportunité, Buon et Viboux vont le persuader le 25 Janvier 1862, de leur vendre 100 000 mètres carrés de terrain au prix de 30 francs le mètre, selon les modalités suivantes: 900 000 francs le 10 Février 1862, 900 000 francs à l’ouverture de l’exposition et la mise à disposition d’Erlanger de 10 000 m carrés au prix de 20 francs pour six années de location, dans l’enceinte du Palais. De fait, Erlanger devient donc partie prenante de l’idée initiale. Les 15 524 mètres carrés restant nécessaires seront achetés à trois autres petits propriétaires.
Entre décembre 1861 et octobre 1862, les Actes de la Société du Palais de l’Exposition Universelle (4) vont donc être constitués. Ils sont divisés en trois parties distinctes :
- une Société du palais de l’Exposition universelle (2 décembre 1861)
Nommé gérant, Buon apporte son projet d’exposition, les études réalisées dans ce dessein, et le concours des industriels et commerçants qui seront partie prenante ; de son côté, Viboux, simple associé commanditaire doit s’occuper de rassembler les capitaux nécessaires à une telle réalisation, estimés à un total de quinze millions de francs (soient huit millions pour la construction et sept millions pour la valeur des immeubles).
- une Association de l’Exposition universelle et permanente (17 & 18 Août 1862)
Les deux associés doivent s’employer à acheter les terrains nécessaires à la construction du palais de l’exposition et de ses dépendances et à louer les emplacements disponibles (50 000 mètres carrés) aux futurs exposants, désireux de présenter leurs produits. Enfin, un minimum de publicité doit être organisée par le biais de la presse existante.
- une Société civile de crédit de l’Exposition universelle et permanente
(Septembre – Octobre 1862) qui ouvre un crédit de 7 500 000 francs destiné à l’acquisition des terrains et à la construction dudit Palais. Ce crédit s’appuie sur l’hypothèque des immeubles de la société, en construction ou terminés, sous forme de quinze mille obligations au porteur de 500 francs chacune.
Tout se met donc peu à peu en place pour la réalisation du Palais d’Auteuil et des bâtiments annexes, dont l’emplacement exact sera circonscrit entre l’actuelle rue d’Auteuil (où se situait le Château du Coq), le cimetière d’Auteuil et l’Avenue de Versailles, comme cela se confirme :
« les terrains ayant une contenance totale et superficielle de 115 524,91, situés à Paris, quartier d’Auteuil, traversés en partie par le nouveau boulevard, tenant la totalité d’un côté au chemin militaire des fortifications, d’un autre côté à MM. Duparc, Halphe, Guerre, Moreau, Jousseaume, au cimetière d’Auteuil, à M. Renard et à la Compagnie générale des omnibus ; d’un autre côté à M. Erlanger ; au rond-point, à la petite rue de l’Alma, et du quatrième côté à la route de Versailles. » (5)
Le début des travaux est quand même subordonné d’une part à l’acquisition des terrains et emplacements nécessaires, ce qui est en passe d’être finalisé avec Erlanger, d’autre part, à la location de la totalité des 50 000 mètres carrés de surface disponible. Ceci effectué, une assemblée générale pourra être réunie, ce qui permettra la formation du comité d’organisation, l’examen des plans et les décisions afférentes aux constructions. Le début des travaux est donc prévu pour Mars 1862.
Or, le 30 janvier 1862, Buon écrit à Viboux : « nous avons 1100 abonnés » (environ 4 500 mètres carrés loués), ce qui s’avère nettement insuffisant pour espérer couvrir le crédit et commencer les travaux dans les temps. Malgré cela, Erlanger fait hâter les préparatifs et encourage Bouwens, l’architecte chargé du lotissement des terrains et Liandier (6), l’architecte du Palais à débuter les travaux.
Le 1er Mars 1862, une lettre de convocation pour une assemblée générale le 20 Mars, est envoyée aux abonnés locataires, annonçant que la location des 50 000 mètres carrés est réalisée et que le plan des édifices à construire est à leur disposition.
Enfin, une campagne de publicité sous forme d’affiches débute à Paris et dans les villes de l’Est. Ainsi, en août 1862, l’hebdomadaire, le Monde Illustré (7) consacre un article d’une page au palais en construction, publicité agrémentée d’une perspective d’ensemble du projet. L’auteur, Maxime Vauvert, détaille longuement les caractéristiques du futur bâtiment, nous donnant une idée de l’impression finale : « il s’élève à Auteuil sur un vaste parallélogramme qui n’a pas moins de 500 mètres de façade sur 210 mètres de profondeur. Le nouveau palais réunit, dans une combinaison heureuse, l’emploi de la pierre, de la fonte, du fer et du verre. Cette nouvelle architecture composite était bien celle qui convenait à cet édifice………..un dôme immense, dont la circonférence est de 120 mètres et la hauteur de 110mètres, en couronne le centre. Tout autour à l’intérieur s’étend une ceinture élégante, composée de séries d’arcades d’un développement de plus de 1 200 mètres, dont chacune a 8 mètres de largeur sur 12 de hauteur . »
Pour cette construction, on s’est inspiré bien évidemment des bâtiments érigés lors des précédentes Expositions Universelles, celle de Londres en 1851, avec le Crystal Palace et celle de Paris, en 1855, avec le Palais de l’Industrie des Champs Elysées. On associe donc la pierre, le fer et le verre dont l’emploi conjugué tend à se généraliser, tout en évitant ici, l’effet de serre que l’on reprochait au Palais de l’Industrie : « ….Avec le fer et le verre seuls, on avait une immense serre, une volière grandiose, si on le veut, mais où manque le caractère monumental……… .Le caractère du palais d’Auteuil sera tout différent avec son revêtement de pierre, qui ne nuit ni à la légèreté de l’édifice, ni à sa transparence, ni à l’abondance de la lumière ; c’est un monument nouveau fait de pierre et de verre, ….. »(7).
C’est également dans cet article qu’il est fait mention pour la première fois de la décoration du palais : « les sculptures et les ornements seront l’ouvrage d’artistes dont le talent est reconnu. Les sculptures de la grande porte d’entrée ont été confiées à MM. Clère et Bartholdi »(7).
Nulle mention de Charles LeBourg : seuls sont nommés les deux sculpteurs dont les sculptures orneront la porte principale. Le reste paraît quelque peu accessoire.
D’après les divers documents disponibles à ce jour, on peut suivre dans le détail les derniers rebondissements de l’affaire : les travaux vont se poursuivre encore quelques temps, jusqu’à fin 1862. Interrompus durant la période hivernale, ils ne reprendront plus.
Effectivement, en juin 1863, la Banque Witemann et Cie à Guebwillers (Alsace), propose la négociation de 500 000 Francs de traites du Comptoir de Colmar Viboux et Cie, fractionnées en diverses échéances, endossées par eux, ayant de plus pour garantie en nantissement 2000 obligations hypothécaires de la Société d’Exposition Permanente et Universelle, constituée par actes des 15, 16 et 25 septembre 1862. Cette offre est faite à ses clients, l’entreprise Schlumberger, Widemann et Frey Witz, importants filateurs de coton, employant 1500 ouvriers et désireux de placer des fonds conséquents. L’opération est acceptée, le Comptoir de Colmar offrant une situation prospère.
Parallèlement à cette opération financière en cours, Buon et Viboux vont se révéler incapables de rembourser les intérêts dûs à Erlanger début septembre 1863. A la mi-octobre, son commandement de payer étant resté sans effet, celui-ci fait saisir les terrains et les constructions.
Tout ceci précipite la fin : C’est en effet à partir de ce moment que le Comptoir de Colmar va faire faillite car trois procédés frauduleux ont été mis au jour :
-« un détournement de valeurs considérables du Comptoir de Colmar »
-« la constitution et le maintien au profit de Mr Erlanger, sur l’immeuble hypothéqué aux obligations, d’une créance privilégiée pour prix de vente qui, dans son exagération exorbitante, n’a point de cause légitime…. »
-« la création et mise en circulation de titres fictifs » (8)
Début Novembre, la Revue Artistique et Littéraire va du reste se faire l’écho de cette banqueroute : « S’il faut en croire le Glaneur du Bas-Rhin, un désastre financier serait causé dans les deux chefs-lieux du Haut et du Bas-Rhin, par les travaux du Palais de l’Exposition permanente d’Auteuil, où d’importants capitaux se trouveraient compromis ». (9)
Il s’avère, en réalité, que Buon et Viboux ont acheté des terrains à Erlanger, d’une manière privée, en utilisant indûment de l’argent (2 800 000 Francs) soustrait au Comptoir de Colmar, dont Viboux était administrateur. De plus, Erlanger a grevé le Comptoir d’une autre créance, à son profit, pour des fonds avancés pour la construction des bâtiments de l’Exposition.
Viboux, Buon et Erlanger sont donc dénoncés comme coauteurs de la tromperie par les syndics du Comptoir Viboux et Cie et les administrateurs judiciaires des sociétés civiles de l’Exposition universelle, Carteret et Bequet, qui portent plainte.
Après la fuite de Buon et l’arrestation de Viboux, une procédure est lancée contre les trois associés, le 28 Avril 1864, dont le procès a lieu entre janvier 1866 et janvier 1867. Le jugement rendu le 29 Mai 1868 par le Tribunal civil de Metz les déclarera tous trois responsables à des degrés divers.
Le projet du palais s’arrête donc définitivement. Il est simplement mentionné à deux reprises par la suite, ce qui nous permet de confirmer son existence jusqu’en 1867.
Ainsi, lors de sa plaidoirie en faveur d’Erlanger en janvier 1866, M°Allou évoque le sort du bâtiment en ces termes : « ……en vue d’élever ce malheureux palais de l’exposition, déjà à l’état de ruine, ruine toute neuve, qui s’écroulera bientôt et qui n’abritera jamais l’exposition internationale rêvée par ses fondateurs. » (10)
On trouve enfin une dernière mention en 1867, lors de l’organisation de la quatrième Exposition Universelle à Paris : « le choix de l’emplacement donna lieu à de longues controverses. Les projets qui occupèrent le plus l’attention publique avaient pour objet : l’un de mettre à profit le palais de l’exposition permanente d’Auteuil ; l’autre d’employer, en l’étendant par des annexes, le palais des Champs Elysées. » (11)
Par la suite, je n’ai trouvé nulle trace de sa destruction ultérieure.
Charles LeBourg et le Palais d’Auteuil
Concernant les deux maquettes de Charles LeBourg, il paraît vraisemblable de penser qu’il s’agit bien d’un projet de décor destiné à orner ce Palais d’Auteuil, et ce, pour plusieurs raisons :
– d’une part à cause des inscriptions portés sur chacune des plaques,
– d’autre part, parce que si LeBourg avait dû présenter une œuvre dans le Palais
d’Auteuil en tant qu’artiste exposant, on peut logiquement penser qu’il n’aurait pas réalisé une maquette mais une œuvre achevée sans mention de lieu mais plutôt datée, ce qui n’est pas le cas ici. Et il paraîtrait plausible qu’on en trouve une trace dans sa carrière.
– Enfin par le choix du thème, « l’Ancien Monde et le Nouveau Monde », désignant d’une part, l’Europe, l’Asie et l’Afrique, d’autre part, les Amériques et l’Océanie, qui s’insère parfaitement dans le cadre d’une Exposition Universelle et Internationale, destinée à présenter les produits de tous les peuples.
Dans l’exécution de ces deux figures, Charles LeBourg met à profit l’enseignement de son maître Rude, qui, très influencé par la sculpture antique, recherche constamment la vérité anatomique. C’est le cas ici, avec ces deux figures masculines vêtues à l’antique, qui allient puissance, grâce au rendu de la musculature et dynamisme, par le choix des postures (12). LeBourg introduit également son goût personnel pour la statuaire Renaissance dans la souplesse des drapés enveloppant les corps.
A propos de la place dévolue à « l’Ancien Monde et au Nouveau Monde », nous en sommes réduits à des conjectures : si Clère et Bartholdi sont en charge du décor de la Porte principale, on peut penser que les maquettes de LeBourg étaient destinés aux arcades placées de chaque côté, ou bien au décor des pavillons placés de part et d’autre.
Enfin, concernant la date de réalisation, on peut raisonnablement émettre l’hypothèse que Buon et Viboux ont passé commande à LeBourg entre janvier 1862, date à laquelle ils achètent les terrains à Erlanger, et septembre 1863, mois qui voit la déconfiture du projet. Malheureusement, dans les archives que j’ai pu consulter sur le sculpteur, nulle mention de ce travail pour le Palais n’apparaît, sans doute en raison de l’échec du projet. Il en est de même pour les réalisations hypothétiques de Clère et Bartholdi (13), pressentis pour le décor de la Porte principale. Ont-ils également réalisé des maquettes ? L’étude de leurs œuvres n’a rien donné jusqu’à présent.
Tombé quasiment dans l’oubli pour son travail au Palais d’Auteuil, Charles LeBourg gagnera par la suite une réputation internationale avec la conception des fontaines Wallace en 1872, commande qui lui permettra une fois encore de revisiter la Renaissance.
Notes
- Exposition Universelle d’Auteuil – Actes de Société – Paris – 1868, p1
- Edouard Allou – Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M° Allou pour Mr d’Erlanger – Paris, impr. Renou et Maulde, 1866, p.12
- « Par acte du 4 août 1718, les consorts Chapelin vendent leur maison, appelée
Château du Coq, à cause de la présence d’une girouette sur le toit. L’emplacement correspond au 63-73 de la rue d’Auteuil aujourd’hui. » Hubert Demory – Auteuil et Passy : Du Moyen Age à la Révolution, p139
En 1767, Louis XV s’en rendra propriétaire pour en faire un rendez vous galant.
- Exposition Universelle d’Auteuil – Actes de Société – Paris – 1868, 56p
- Exposition Universelle d’Auteuil – Actes de Société – Paris – 1868, p36
- Le Monde Illustré – 6ème Année – N°281 – 30 Août 1862 – p144
- Le Monde Illustré – 6ème Année – N°281 – 30 Août 1862 – p144
- Michel Pierre Hébert – Cour Impériale de Paris, Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M°Hébert pour MMSchlumberger, Widemann et Frey-Witz – Paris, impr. Dubuisson, 1866, 38 pages
- Revue Artistique et Littéraire – Tome Cinquième – Quatrième Année – Paris – 1863, p.224
- Edouard Allou – Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M° Allou pour Mr d’Erlanger – Paris, impr. Renou et Maulde, 1866, 152 pages
- Lefébure de Fourcy, Inspecteur général des Mines, « P.G.F. Le Play – Notice biographique », dans Annales des Mines, 8ème série, Tome II, 1882
- Tout au long de sa carrière, LeBourg va poursuivre sa quête d’une Antiquité idéale, notamment dans le décor de l’immeuble du 13 bd de Sébastopol à Paris.
Cf Isabelle Parizet, « Pygmalion et Galatée, une œuvre méconnue de Charles LeBourg », dans Institut d’Histoire de Paris – Documents d’Histoire Parisienne, Paris, 2006, p.67-78.
- On peut imaginer que Bartholdi a été choisi en raison de sa participation à la précédente Exposition Universelle de 1855 : il avait en effet réalisé une statue du Général Rapp, placée face à l’entrée du Palais de l’Industrie, inaugurée par la suite à Colmar. Peut-être également à cause de son origine alsacienne comme Viboux.
Bibliographie
Edouard Allou – Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M° Allou pour Mr d’Erlanger – Paris, impr. Renou et Maulde, 1866, 152 pages
Robert Belot – Daniel Bermond – Bartholdi – Perrin, 2004
Hubert Demory – Auteuil et Passy : Du Moyen Age à la Révolution, p.139
Exposition Universelle d’Auteuil – Actes de Société – Paris – 1868
Michel Pierre Hébert – Cour Impériale de Paris, Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M°Hébert pour MMSchlumberger, Widemann et Frey-Witz – Paris, impr. Dubuisson, 1866, 38 pages
Pierre Kjellberg – Les Bronzes du XIXème siècle – Dictionnaire des Sculpteurs – Les Editions de l’Amateur – Paris, p.418
Stanislas Lami – Dictionnaire des sculpteurs de l’école française au dix-neuvième siècle – Tome III, p.266-270- Paris -1919
Eugène Mennet – Jugement du Tribunal civil de Metz – Chambre civile – rendu le 29 Mai 1868 dans l’Affaire du Palais de l’Exposition Universelle d’Auteuil – Metz, impr.V.Maline, 1868, 50 pages
Le Monde Illustré – Journal hebdomadaire – 6ème Année – N°281 – 30 Août 1862, p.144
Isabelle Parizet, « Pygmalion et Galatée, une œuvre méconnue de Charles LeBourg », dans Institut d’Histoire de Paris – Documents d’Histoire Parisienne, Paris, 2006, p.67-78
Georges Pillement – Les Hôtels d’Auteuil au Palais Royal – 1952
Revue Artistique et Littéraire – Tome cinquième – Quatrième Année – Paris – 1863, p.216-227
Sources
Bibliothèque Nationale de France
Edouard Allou – Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M° Allou pour Mr d’Erlanger – Paris, impr. Renou et Maulde, 1866, 152 pages
Michel Pierre Hébert – Cour Impériale de Paris, Affaire du Palais d’Auteuil – Plaidoirie de M°Hébert pour MM.Schlumberger, Widemann et Frey-Witz – Paris, impr. Dubuisson, 1866, 38 pages
Eugène Mennet – Jugement du Tribunal civil de Metz – Chambre civile – rendu le 29 Mai 1868 dans l’Affaire du Palais de l’Exposition Universelle d’Auteuil – Metz, impr.V. Maline, 1868, 50 pages
Documentation du Musée d’Orsay
Dossiers sur les Expositions Universelles et l’architecture des Expositions Universelles
Dossiers « sculpteurs » sur Clère, Bartholdi et LeBourg
Dossier « architectes » sur Liandier
Annexes
Exposition Universelle d’Auteuil – Actes de Société – Paris – 1868
Le Monde Illustré – Journal hebdomadaire – 6ème Année – N°281 – 30 Août 1862, p.144
Isabelle Parizet, « Pygmalion et Galatée, une œuvre méconnue de Charles LeBourg », dans Institut d’Histoire de Paris – Documents d’Histoire Parisienne, Paris, 2006, p.67-78
Revue Artistique et Littéraire – Tome cinquième – Quatrième Année – Paris – 1863, p.216-227